Puisque que le DIS n’est pas une maladie spécifique bien définie, mais plutôt un groupe d’affections, les signes cliniques peuvent varier considérablement pour chaque maladie et chaque patient. En outre, les mécanismes moléculaires sous-jacents du DIS sont peu connus, et il existe probablement de nombreux facteurs en jeu, en fonction de la cause du déficit.8
Parmi les facteurs (p. ex., maladies, médicaments), chacun avec son propre profil clinique, qui peuvent être associé avec le DIS on compte :7,8
- Les troubles lymphoprolifératifs (TLPs)
- La leucémie lymphoïde chronique
- Le myélome multiple
- Les lymphomes B non hodgkiniens indolents et agressifs
- LesTLPs post-transplantation associés au virus d’Epstein-Barr
- Les cytopénies auto-immunes
- Les thérapies immunosuppressives
- Traitement anti-CD20, exprimé par les lymphocytes B
- Les régimes de chimio-immunothérapie (chimiothérapie)
- Les corticostéroïdes, pour le traitement de l’asthme ou la maladie pulmonaire obstructive chronique
- Autre
- La transplantation de moelle osseuse post-autogreffe
- La polyarthrite rhumatoïde
- La bronchiectasie